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Gérer plus simplement son bien en copropriété

Le prix de l’immobilier, que ce soit en centre-ville ou ailleurs en France, tend à se stabiliser, et ce, après une légère hausse. Malgré qu’il soit possible de faire ses investissements via un crédit immobilier, les particuliers sont toujours à la recherche de solution pour minimiser l’importance des fonds nécessaires pour faire ce genre de placement. Une alternative en ce sens est d’investir dans les immeubles de copropriété.

Plus de problèmes de gestion

Ce sont surtout les problèmes de gestions des biens qui poussent les particuliers à éviter les placements dans les biens en copropriété. Non seulement, avec un immeuble à plusieurs propriétaires, vous devez vous engager sur votre quote-part, mais vous devez aussi vous tenir au courant des dernières décisions du syndic. En effet, il se peut que quelques rénovations aient été votées, ou encore qu’un budget extraordinaire doive être mis en place. Vous devez souvent faire les allers-retours pour voir l’état de l’entretien du bien. Vous devez aussi veiller à la transparence de la gestion de l’immeuble.

Mais désormais, toutes ces prérogatives ne sont plus de votre ressort. Les professionnels ont trouvé des solutions pour minimiser vos charges en la matière. Vous pouvez opter pour un syndic professionnel ou un logiciel immo.

Opter pour le premier ou pour le second ne se fait pas au petit bonheur la chance. Il faut passer par une réunion des copropriétaires et étudier à bon escient les avantages et les inconvénients des deux prestations. Et il semble que l’utilisation d’un logiciel immobilier remporte haut la palme de nos jours.

Une plateforme unique pour tout gérer

Cela fait quelques mois que le logiciel immo a fait son apparition sur le marché. Et déjà aujourd’hui, il en a convaincu plus d’un. En France, plus 300 000 biens sont déjà gérés via ce type de prestation.

Dans les grandes lignes, le logiciel immobilier consiste à gérer son bien depuis une seule plateforme sur le Net. Vous y avez toutes les informations concernant les modes de management de votre immeuble. Ce peut aller des données pratiques comme les entretiens des parties communs ou encore des données techniques telles que le livre comptable.

Avec un programme de ce genre, vous gagnez du temps dans l’administration du bien. Vous n’avez pas à faire les allers-retours dans la mesure où toutes les informations sont toujours disponibles en ligne. Et vous faites aussi quelques bénéfices en frais de gestion, car le fait est que les prestations d’un logiciel immo est plus modique que celles d’un syndic professionnel.

 

Source : Article partenaire

Comment mettre en place une bonne stratégie d’investissement ?

Pour mettre en place une bonne stratégie d’investissement, il faut structurer sa démarche et prendre en compte tous les éléments qui pourraient être affectés par vos décisions.

Dans l’établissement de cette stratégie, il faut principalement s’attarder sur trois points :

  • La fiscalité : Même si vos décisions d’investissement ne doivent pas être motivées uniquement par la recherche d’une fiscalité avantageuse, prendre en compte la fiscalité de votre investissement est primordial pour éviter les mauvaises surprises. Attention, la fiscalité et l’ensemble des règles qui la régissent évoluent suffisamment rapidement pour que cela nécessite une mise à jour régulière de votre savoir en la matière, afin d’être en mesure de prendre les bonnes décisions.
  • Le coût d’opportunité : Avant de prendre sa décision finale concernant une option ou une autre, il faut se demander s’il est plus approprié d’investir autrement, compte tenu de l’existence potentielle d’une autre opportunité ayant le même niveau de risque et nécessitant le même niveau de liquidité.
  • L’impact de cet investissement sur vos autres opérations : Les liquidités que vous avez dégagées pour permettre un niveau d’investissement élevé doivent être utilisées de manière à vous laisser des opportunités variées. L’une des règles de base est qu’il faut diversifier vos investissements, surtout si vous souhaitez investir dans des domaines jugés potentiellement risqués, comme les marchés financiers par exemple. Le retour sur investissement de chacun de ces placements financiers peut être difficile à prévoir ; attention donc, à ne pas mettre tous vos œufs dans le même panier.

Il faut ensuite déterminer le choix d’investissement en lui-même. Immobilier, assurance-vie, actions…
Pour faire le choix, il convient de connaître les avantages et inconvénients de chacune des options.

L’assurance-vie est un placement assez liquide, ce qui signifie qu’un retrait partiel ou total peut être effectué à n’importe quel moment pendant la durée de vie du contrat. C’est aussi un placement très flexible au niveau des supports qu’il contient : le choix est souvent très large et varié, que ce soit pour la partie garantie en capital (les fonds en euro) ou bien pour la partie unités de compte. En revanche, il faut se poser la question du rendement pour chaque partie.
L’investissement sur les marchés financiers est le plus risqué mais est aussi l’investissement pouvant permettre les plus importantes plus-values. Le long terme des marchés financiers requiert une alimentation régulière de son portefeuille, ce qui sera plus efficace qu’un investissement en capital initial important.

Le marché de l’investissement immobilier maintient un rythme intéressant. Investir dans la pierre est toujours perçu comme une décision sage, et la conjoncture pousse aujourd’hui à cela (la prise en compte des taux d’intérêts a une grande importance, et ils sont actuellement favorables à l’achat). Des plus-values potentiellement intéressantes peuvent être réalisées, même si l’immobilier ne donne qu’un retour sur investissement à (très) long terme.

Pour parvenir à mettre en place un investissement rentable, il faut réunir l’ensemble des bonnes pratiques de la gestion de patrimoine.

S’il semble évident que la mise en place d’une bonne stratégie d’investissement est un enjeu majeur, elle n’en demeure pas moins un domaine relativement compliqué pour lequel être bien informé et bien conseillé reste indispensable.

L’achat en VEFA : tout comprendre

L’achat en VEFA (vente en l’état futur d’achèvement) concerne l’acquisition de logement neuf sur plan. Plus précisément, le promoteur vend les logements avant même leur construction. Cette opération répond à une réglementation spécifique édictée par le Code de la construction et de l’habitation sous les articles L 261-1 et suivants, et R 261-1 et suivants.
Ces opérations peuvent réserver parfois de mauvaises surprises aux acquéreurs. Aussi quelques règles de prudence s’imposent. Voici nos recommandations pour vous permettre un achat serein.

 

Le contrat de réservation

Celui-ci n’est pas obligatoire mais il est systématiquement proposé à la signature. Par ce contrat, le promoteur réserve au futur acquéreur un bien précis. A noter que l’acheteur peut toujours renoncer à l’achat même s’il a apposé sa signature sur le document.

Obligatoirement, le contrat de réservation doit mentionner les éléments suivants :
● la surface habitable approximative,
● le nombre de pièces principales et la nature des pièces secondaires
● s’il s’agit d’une copropriété, la situation du bien dans l’immeuble
● le prix prévisionnel de vente et les conditions de révision,

Le promoteur est autorisé à fixer une clause de révision du prix prévisionnel, lequel peut être majoré d’un maximum de 5% à la signature de contrat de vente final.

● un descriptif des qualités techniques de la construction
● la date prévue pour la signature du contrat de vente définitif.

Des éléments complémentaires peuvent être précisés dans le contrat de réservation. Ceux-ci engagent formellement le promoteur même s’il ne les reprend pas dans le contrat définitif. Aussi est-il nécessaire de mentionner dans cet acte tous les éléments de l’opération (clause suspensive en présence d’un prêt, échéancier de paiement …)

Dans ce contrat de réservation, doivent être également précisées les garanties liées à l’opération : garantie d’achèvement et garantie de remboursement.

 

Le dépôt de garantie

Il dépend du délai prévu entre la date du contrat de réservation et la signature de l’acte définitif de vente. Il ne peut pas dépasser les plafonds suivants :

● 5% du prix quand le délai est inférieur à un an,
● 2% si ce délai est compris entre un an et deux ans,
● Au-delà, aucun dépôt de garantie ne peut être demandé.

 

La rétractation

Le contrat de réservation n’est définitif qu’à l’expiration d’un délai de 10 jours permettant à l’acquéreur de se retirer de l’opération.
Le délai court du lendemain de la présentation de la lettre recommandée envoyée par le promoteur, contenant le contrat de réservation. Passé ce délai, si l’acheteur refuse de signer, il perd le dépôt de garantie.
Quelques exceptions à cette règle : absence de réalisation d’un élément des équipements collectifs prévus dans l’immeuble, un prix de vente définitif supérieur de plus de 5% au prix prévu…

 

Le contrat de vente définitif

Il est établi par le notaire et signé par les parties dès lors que toutes les conditions requises pour la vente sont réunies. Il doit contenir la description précise et définitive du logement, de l’immeuble et doit être adressé au minimum un mois avant la date prévue pour sa signature.
A noter que le logement va être payé au fur et à mesure de l’avancement des travaux de construction et d’aménagement. Aussi, il est important que le contrat de vente définitif indique précisément les modalités du paiement échelonné.

L’acte de vente doit mentionner également la date de livraison. A savoir que la loi autorise une marge d’approximation. Rien n’interdit à l’acheteur toutefois de négocier des indemnités de retard. Il conviendra alors de le préciser dans cet acte.

 

Le procès-verbal de livraison

Etape essentielle : la visite approfondie du bien lors de sa réception. Doit être consigné dans ce procès-verbal le maximum d’élément : défauts de conformité, vices de construction et malfaçons éventuelles, travaux de finition restant à effectuer … Si le bien est conforme au contrat de réservation, le promoteur exigera alors le solde du prix. Si ce n’est pas le cas, l’acheteur peut verser le solde sur un compte à la Caisse des Dépôts et Consignations en attendant la réalisation des travaux nécessaires à la mise en conformité du bien. Si les travaux sont très important, l’acheteur peut refuser de prendre livraison et même de consigner le solde.

Nous conseillons une grande prudence dans le cadre d’une acquisition en VEFA. Il est primordial d’être bien informé de la réglementation en vigueur et d’exercer un contrôle régulier de l’avancement de la construction de son futur bien.

 

Sources :

http://www.investkeeper.com/blog/immobilier/
http://www.investkeeper.com/
http://www.investkeeper.com/immobilier-les-pieges-eviter/

 

L’achat en VEFA : tout comprendre

Dans quel sens la colocation est-elle intéressante ?

Vivre en colocation est devenue un phénomène universel de nos jours. En effet, face à une population mondiale qui ne cesse de s’accroître tous les jours, chercher une maison devient parfois un parcours du combattant. Par ailleurs, le coût du logement augmente et de plus en plus des personnes ne seront plus à la hauteur de rembourser leur loyer notamment dans les grandes villes. Pour cela, une solution s’offre à vous : la colocation. Cette dernière est une démarche qui vise à louer à plusieurs un bien (appartement, studio…). Il existe donc plusieurs occupants installés dans un logement. Nous allons voir pourquoi cette pratique est attrayante à présent.

 

Les intérêts dans la colocation

L’un des motifs principaux qui expliquent cette option est bien évidemment la raison pécuniaire. Par conséquent, vous pourrez vivre dans un coin plus spacieux avec vos colocataires étant donné que les dépenses seront divisées. Outre le loyer, il y a d’autres charges quotidiennes qui sont réduites à savoir les factures ordinaires (eau, électricité, abonnement internet, téléphone, gaz…) et les charges particulières comme le dépannage ou la plomberie. Parfois, les colocataires partagent aussi les courses à la maison.
Ce phénomène présente ainsi un trait social. Dans ce contexte, le fait de vivre à plusieurs signifie qu’il faut accepter les autres. Les colocataires doivent alors être sociables, en s’ouvrant aux autres. Prendre un logement en colocation implique de partager, passer du temps avec des individus que vous devrez apprendre à connaître. C’est le privilège de mettre en place des liaisons uniques durant, par exemple, le partage des repas ou des tâches ménagères. Fini alors la solitude ou l’isolement !
Si vous êtes étudiant, vivre en colocation est un meilleur moyen pour apprendre de nouvelles langues ou cultures. Cela dit, nombre d’étudiants étrangers viennent dans le pays d’accueil pour finir leurs études universitaires. Cohabiter avec un individu qui ne parle pas le même dialecte permettra alors de vous progresser dans la connaissance linguistique.

 

Comment réussir votre colocation ?

Comme nous avons mentionné plus haut, la colocation comporte de nombreux intérêts notamment en termes d’économies. En revanche, réussir cette cohabitation exige de pratiquer certaines méthodes. Pour ce faire, il faut vivre avec des colocataires sur qui vous avez profondément confiance et sur qui vous pourrez vous accorder. N’oubliez pas que le compromis est la base fondamentale de réussite d’une colocation. En fait, il faut se mettre d’accord sur les diverses tâches liées à la maison ou le règlement des factures. Dès que vous vous entendez bien sur ces questions, alors vous pourrez vous lancer à la souscription de contrat de colocation. Choisissez un logement en colocation conforme à vos besoins.

Aide financière à la rénovation : zoom sur l’éco-PTZ

Toujours dans le souci d’améliorer la performance énergétique des bâtiments, un crédit « éco-prêt » à taux zéro est créé pour encourager les propriétaires à investir dans la rénovation en matière d’isolation thermique.

L’éco-PTZ ou éco-prêt à taux zéro

Ce dispositif fiscal est destiné à encourager les propriétaires de bâtiments à effectuer des travaux de rénovation, notamment en matière d’isolation. L’éco-PTZ vise à améliorer la performance thermique. Les logements concernés sont ceux qui sont construits avant le 1er janvier 1991. Ce crédit aide à financer en totalité ou en partie un chantier de rénovation. L’accès à l’éco-PTZ se fait toutefois sous certaines conditions.

L’éco PTZ pour qui ?

Tout propriétaire et copropriétaire de bâtiments peut accéder à l’éco-PTZ. Après avoir bien défini les travaux à réaliser, il faut en établir un devis détaillé. Parmi les conditions pour l’obtention du crédit, le ou les demandeurs doivent obligatoirement choisir un professionnel « Reconnu Garant de l’Environnement » (RGE) pour effectuer les travaux d’isolation. Les travaux doivent également faire partie d’une liste bien définie. Il faut fournir un certain nombre de pièces justificatives. La liste de ces éléments est disponible auprès de chaque établissement de prêt.

Les types de travaux concernés

Le but principal du dispositif est d’obtenir une performance énergétique accrue. Les travaux doivent alors essentiellement se porter sur l’isolation thermique en général et l’installation d’un système de chauffage utilisant de l’énergie renouvelable. Les travaux peuvent également consister à faire atteindre au logement le seuil minimal de performance énergétique global. Un bilan énergétique comme proposé par le site lecentreregional.fr est indispensable pour déterminer le taux de la performance énergétique.

Combien peut-on emprunter ?

Le montant du prêt est plafonné à un maximum de 30.000 €. La durée de remboursement est fixée entre à 10 et 15 ans selon les travaux. L’éco-PTZ est accordé par un établissement bancaire ayant signé une convention avec l’État.

Comment créer une EURL ou une SARL en France ?

Avant de se lancer dans la création d’une petite et moyenne entreprise : comprendre les différentes structures de la société disponibles. Pour savoir quels sont les types de sociétés qui puissent exister, je vous invite à visiter le site domiciliation-societe.com

Comprendre l’EURL

Avec une EURL, l’entreprise est entièrement détenue par une seule personne et gérée comme une société à responsabilité limitée à actionnaire unique. Le gérant assume l’entière responsabilité juridique pour la gestion de l’entreprise. Cette personne n’est pas nécessairement le propriétaire de l’entreprise. Il peut être une personne opérant sur une base non salariée comme gérant non rémunérée.

Comprendre la SARL

Dans le cas d’une SARL, l’entreprise doit avoir un minimum de deux actionnaires et au maximum une centaine de partenaires. Dans les SARL et EURL, la société peut être établie avec n’importe quel montant de capital. Le propriétaire ou la responsabilité des propriétaires est limitée au montant de leurs apports.

Processus de création de SARL et EURL

Tout d’abord déterminer si les activités de la société sont réglementées ou non. Si c’est le cas, il faut vérifier les qualifications et exigences pour une licence et l’assurance de responsabilité civile. Pour ce faire, adressez vous au bureau compétent de la CFE local et demander les formulaires de demande et les instructions sur les documents requis.

Rédiger et adopter les statuts

Le choix des statuts peut avoir droit et incidences sur l’impôt. Demander l’avis d’un comptable ou d’un notaire ou encore d’une agence de domiciliation d’entreprise à Paris, si vous établis dans cette ville. À ce stade, un gérant doit être désigné.

L’adresse de la société

Cela peut être une adresse de domicile du gestionnaire de l’entreprise s’il est propriétaire d’une maison, une adresse de résidence louée (si accepté par le propriétaire); ou encore une « adresse » louée provenant d’une entreprise qui offre ce service à l’instar des sociétés de domiciliation ou une d’entreprise de pépinière. Soumettre tous ces documents au CFE. Une fois soumis, l’entreprise est officiellement ouverte. Le CFE délivre un récépissé de dépôt de dossier de création d’entreprise indiquant que l’entreprise est en attente d’immatriculation.